Michael Jackson, décédé le 25 juin 2009, avait accumulé 500 millions de dollars de dettes en raison de dépenses extravagantes et de dons généreux. L’expert-comptable William R. Ackerman révèle que Jackson a dû faire face à des taux d’intérêt élevés sur ses prêts, contribuant à son surendettement. Les héritiers de Jackson ont amélioré leur situation financière en vendant sa part du catalogue musical à Sony Corp pour 750 millions de dollars, réduisant ainsi les dettes.
Si Michael Jackson a laissé un grand vide dans le cœur de ses fans lors de sa mort le 25 juin 2009, il a également laissé derrière lui une véritable montagne de dettes. Le célèbre chanteur aurait cumulé pas moins de 500 millions de dollars de dettes avant de disparaitre tragiquement il y a maintenant 15 ans. Même s’il amassait chaque année des millions de dollars grâce à sa musique, Michael Jackson dépensait encore plus, sortant jusqu’à 30 millions de dollars par an de sa poche. Sa générosité le menait à lâcher des fortunes en dons à des œuvres caritatives et dans des cadeaux, voyages, art et meubles.
**Michael Jackson : son immense générosité l’a conduit au bord du gouffre financier**
Selon le rapport de l’expert-comptable William R. Ackerman, Michael Jackson « a dépensé beaucoup d’argent en bijoux » et a contracté des prêts aux taux d’intérêt élevés, le menant à être surendetté. Avant sa mort, il était confronté à de nombreux créanciers et procès à l’international, laissant ses enfants Paris, Prince et Bigi à régler ses dettes.
**Les héritiers du chanteur ont vendu leur part du catalogue musical du roi de la pop pour 750 millions d’euros**
Les exécuteurs ont réussi à restructurer les accords de financement de Michael Jackson à des taux d’intérêt réduits, permettant à la succession d’éviter la perte d’actifs au profit des prêteurs. En vendant leur part du catalogue musical à Sony Corp pour 750 millions de dollars, les héritiers ont éliminé les dettes de la succession et résolu la quasi-totalité des réclamations des créanciers et des litiges. Malgré ces avancées, des questions commerciales, fiscales et juridiques subsistent pour les exécuteurs et leurs avocats.
