Dans un article récent, l’urgentiste Patrick Pelloux se retrouve au cœur d’une controverse après que des témoignages de femmes ont été dévoilés par Paris Match, l’accusant de comportement sexiste et d’agressions. Parmi les accusatrices se trouve la Professeure Karine Lacombe, qui décrit Pelloux comme un « prédateur ».
Malgré les révélations, Patrick Pelloux nie catégoriquement les faits qui lui sont reprochés, affirmant qu’il n’a jamais agressé personne et que leur comportement, bien que grivois à l’époque, était inoffensif. Il réagit avec surprise aux accusations de Karine Lacombe, envisageant même de porter plainte contre elle.
Des souvenirs de la Professeure Lacombe remontent à la canicule de 2003, où elle décrit un environnement hospitalier empreint de sexisme et d’agressions. Malgré les démentis de Pelloux, d’autres personnalités comme l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn affirment avoir connaissance de comportements inappropriés de la part de l’urgentiste.
Cette affaire met en lumière les tensions et les abus qui peuvent exister dans le milieu médical, soulignant la nécessité d’une prise de conscience et de mesures pour garantir un environnement de travail sûr et respectueux pour tous.