Un incident a secoué les manifestations du 1er mai en France, où Raphaël Glucksmann a été confronté à des hostilités à Saint-Etienne, recevant des jets de peinture et des cris hostiles. Le candidat aux élections européennes a dénoncé l’attaque perpétrée par une cinquantaine d’individus, affirmant sa position de démocrate combatif. Jean-Luc Mélenchon a critiqué l’expulsion de Glucksmann, soulignant l’importance de l’unité lors des manifestations.
Raphaël Glucksmann a été victime de jets de peinture et de cris hostiles alors qu’il tentait de rejoindre le cortège à Saint-Etienne. Il a dénoncé ces actes et affirmé sa posture de démocrate engagé, mentionnant la présence de membres de La France Insoumise parmi les perturbateurs. Malgré ses efforts pour avancer, il a dû rebrousser chemin, marqué par les agressions verbales et physiques.
L’expulsion de Raphaël Glucksmann a suscité des réactions, notamment celle de Jean-Luc Mélenchon, désapprouvant cette mesure et soulignant que tous ceux qui soutiennent la lutte des travailleurs ont leur place lors des manifestations du 1er mai. Les accusations à l’encontre de La France Insoumise ont été déplorées par Mélenchon, qui a mis en garde contre les manipulations médiatiques et a pointé du doigt l’extrême droite comme ennemi commun.
En parallèle, une polémique impliquant la compagne de Glucksmann, Léa Salamé, a émergé suite à des déclarations lors d’une émission. Léa Salamé a qualifié l’humoriste Artus de « chiant » suite à son changement de comportement, déclenchant une réaction amusée mais controversée. La séquence est devenue virale, suscitant diverses réactions des internautes.