De l’Elysée à la galère : Louis Sarkozy se confie sur sa vie d’étudiant en Pennsylvanie ‣ StarVIP

De l’Elysée à la galère : Louis Sarkozy se confie sur sa vie d’étudiant en Pennsylvanie

Emily
3 min de lecture

La nouvelle vie de Louis Sarkozy

Ce 3 mars 2024, Louis Sarkozy a accordé une interview au journal anglais, le Telegraph, dans lequel il raconte son enfance et le début de sa vie d’adulte. Il n’y a pas que Nicolas Sarkozy qui est écrivain à ses heures, dans la famille… Son fils cadet, Louis, est aussi un futur auteur à succès. Quelques mois après la sortie du « Temps des combats » de son paternel, il sort « La bibliothèque de Napoléon : L’Empereur, ses livres et leur influence sur l’ère napoléonienne », le 30 mai prochain en librairie. L’occasion de parler enfin un peu de lui aux journalistes, pendant la promotion. C’est ainsi que dans une interview accordée au Telegraph, au Royaume-Uni, le fils de Cecilia Attias est revenu sur sa vie de jeune adulte.

Des cercles de la vie politique à une caserne en Pennsylvanie

Lui qui fut en couple avec Capucine Anav, pendant le mandat présidentiel de son papa, assure : « J’ai fréquenté les cercles les plus élevés de la vie politique. C’était l’expérience la plus privilégiée, la plus heureuse et la plus extraordinaire que l’on puisse imaginer, sauf que j’étais trop jeune pour l’apprécier. Si j’avais été plus âgé de quelques années, j’aurais eu une vision beaucoup plus claire de tout ce qui se passait ».

Aujourd’hui marié à Natali Husic, celui qui a opté pour une éducation aux États-Unis, se souvient avoir troqué les fastes du palais présidentiel pour un dortoir entre hommes. Il assure d’ailleurs à nos confrères : « Je suis passé de l’Elysée à une sale caserne en Pennsylvanie ». Une expérience précieuse qu’il a voulu faire grâce aux hommes qui l’ont entouré pendant son enfance. Louis Sarkozy affirme en effet à propos des gardes du corps, chargés de sa sécurité, et de celle de son papa : « Ils étaient littéralement les meilleurs modèles qu’un enfant puisse espérer – enfin, pour un jeune garçon peu sûr de lui comme moi, qui aimait les trucs militaires ».

Une marque indélébile

Et d’ajouter : « Ces hommes sont des policiers ex-militaires chargés de la protection de ma famille. J’ai passé 24 heures sur 24 avec eux, sept jours sur sept, et c’était génial – ils ont laissé une marque indélébile sur moi et c’est à eux que je dois ma vocation militaire ».

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