Jean-Jacques Goldman a été aperçu au port de Calais, où il a rejoint l’Angleterre en ferry. La compagnie du port Boulogne Calais s’est réjouie de l’avoir compté parmi ses passagers et a partagé une photo du chanteur avec une hôtesse. Cette apparition a réjoui les fans de Jean-Jacques Goldman.
Jean-Jacques Goldman : une retraite paisible
Depuis plusieurs années, Jean-Jacques Goldman mène une retraite paisible. En effet, celui qui est l’une des personnalités préférées des Français a décidé de se retirer du monde de la musique. Il partage désormais son temps entre Londres et Marseille avec sa famille. Et si l’homme de 71 ans souhaite rester loin des projecteurs, il n’en reste pas moins proche de son public.
Un passage remarqué au port de Calais
À la fin du mois d’août, Jean-Jacques Goldman a ainsi été aperçu au port de Calais. Ce jour-là, l’interprète de Je te donne a rejoint l’Angleterre en ferry. Effectivement, sur Facebook, la compagnie du port Boulogne Calais s’est réjouie de l’avoir compté parmi ses passagers. “Une star au port de Calais ! Nous avons eu le grand privilège et la fierté de compter parmi nos voyageurs la star préférée des Français, Jean-Jacques Goldman” a-t-elle indiqué dans une publication, le mercredi 6 septembre.
Jean-Jacques Goldman a pris la pose en toute simplicité
Concernant la venue de Jean-Jacques Goldman à Calais, la compagnie P&O ferries a dévoilé que le musicien s’était présenté en toute simplicité. “Jean-Jacques Goldman ne marchera pas seul, il est accompagné d’une hôtesse de la compagnie maritime avec qui il s’est prêté gentiment au jeu des photos” a dévoilé la compagnie. Un beau clin d’œil à son tube sorti en 1985.
Sur le cliché partagé sur Facebook, le mari de Nathalie Thu Huong-Lagier apparaît souriant et amaigri. Il est ainsi vêtu d’un t-shirt bleu et d’un pantalon marron et se tient aux côtés d’une hôtesse, visiblement ravie. Un photo inédite qui n’a donc pas manqué de réjouir les fans du chanteur. Dernièrement, Jean-Jacques Goldman a fait parler de lui avec la sortie d’une biographie par l’historien Ivan Jablonka. Un ouvrage qu’il n’a pas approuvé, justifiant dans le Canard Enchaîné, le fait qu’il n’a jamais rencontré son auteur.
