Katrina Patchett ne participera pas à l’édition de cette année de « Danse avec les stars » sur TF1, suite à un changement de dernière minute dans l’équipe. Elle a abordé sa perte de poids et le jeûne intermittent comme réponse à une prise de poids pendant le confinement, soulignant « C’est mon corps et je fais ce que je veux ». Face aux critiques sur sa perte de poids, Katrina Patchett souligne l’importance de la confiance en soi et met en garde contre le harcèlement, tout en défendant Nico Capone contre les propos homophobes.
Cette année, Katrina Patchett ne figure pas parmi les danseurs de la célèbre émission de TF1. En effet, sa participation à Danse avec les stars 2024 a été annulée. Une déception pour l’australienne de 37 ans qui figure comme l’un des personnages forts du programme. Si elle participe bien aux tableaux de l’émission, elle n’accompagne pas une personnalité. Invitée chez Jordan de Luxe, elle est revenue sur ce changement de dernière minute, expliquant qu’elle devait être là cette année en tant que danseuse, mais qu’il y a eu un changement dans l’équipe.
« C’est mon corps et je fais ce que je veux »
Au cours de cet entretien, Katrina Patchett s’est confiée sur sa perte de poids et a réagi à une photo en bikini, recevant de nombreuses critiques. Elle a affirmé : « C’est mon corps et je fais ce que je veux. C’était voulu. » Elle a expliqué avoir pris du poids pendant le confinement et ne se sentant pas efficace en danse pour l’émission en Australie, elle a décidé de faire le jeûne intermittent.
Katrina Patchett réagit aux critiques
La danseuse a été surprise par les réactions virulentes sur sa perte de poids, déclarant : « Il y a eu des commentaires assez insultants. Moi je suis bien dans ma tête donc tout va bien mais quelqu’un d’autre qui est plus fragile, il faut faire très attention, car c’est du harcèlement. » Elle a également défendu Nico Capone contre les propos homophobes, affirmant qu’il faut arrêter de juger les gens sur leur physique, et le qualifiant de candidat parfait pour l’émission.
