La journaliste Apolline de Malherbe a été critiquée sur les réseaux sociaux en 2020 à cause de rumeurs concernant la rénovation du château de ses parents. Ces rumeurs se sont avérées infondées après une enquête menée par Libération. Les travaux n’avaient pas encore commencé et la famille Malherbe n’avait pas bénéficié de passe-droits. Malgré cela, Apolline de Malherbe a subi les critiques des internautes.
Des rumeurs non fondées sur les réseaux sociaux
Avec les réseaux sociaux, il est facile de colporter des rumeurs non fondées. En 2020, le château des parents d’Apolline de Malherbe a fait polémique. Pourquoi la journaliste a-t-elle subi les foudres et les critiques des internautes ? Réponse tout de suite !
Une carrière qui continue
Aux commandes de l’interview politique Face à Face, et de la matinale Apolline Matin, Apolline de Malherbe continue sa carrière. Le 14 juillet, la journaliste a d’ailleurs dit au revoir aux auditeurs de son émission, mais pas de panique, la jeune femme prend seulement quelques vacances. Dès la rentrée, l’ex femme d’Alexis Morel reviendra derrière le micro. En attendant le retour de la compagne d’Harold Hauzy, c’est Sébastien Krebs qui la remplace. L’occasion pour Apolline de se ressourcer auprès de sa famille.
Une famille noble d’ancienne extraction
Issue d’une famille noble d’ancienne extraction, Apolline de Malherbe est la fille du peintre Guy de Malherbe et son épouse, la galeriste Marie-Hélène. Née dans le 16e arrondissement de Paris, la journaliste n’a jamais manqué de rien, certains se plaisent même à dire qu’elle est privilégiée. Des jugements qui donnent facilement de quoi faire polémiquer lorsque la question de l’un des biens immobiliers de la famille se retrouve sur le devant de la scène, le château de Poncé, situé dans la Sarthe et classé monument historique.
La polémique du château de ses parents
En février 2020, les Français apprenaient que le château de Poncé allait être rénové grâce à un loto du patrimoine lancé par Emmanuel Macron et piloté par Stéphane Bern. Face à cette nouvelle, les internautes n’ont pu s’empêcher de faire part de leur colère et incompréhension. Afin de mettre fin à cette polémique, CheckNews de Libération a mené sa petite enquête, l’occasion de rétablir la vérité. En réalité, ces rumeurs n’étaient nullement fondées. 10 jours après une interview avec la journaliste, l’avocat Juan Carlos avait publié un post sur Twitter « Le château du père d’Apolline de Malherbe va bénéficier d’au moins 30 000 euros du loto du patrimoine Bern… Alors qu’ils n’avaient même pas déposé de dossier. Il y en a qui ont de la chance ». Ces soupçons de tricheries ont vite été balayés par Libération. Après quelques recherches, le journal à découvert que la somme n’avait même pas encore versée au propriétaire et les travaux n’avaient même pas commencé. Le père d’Apolline, propriétaire du château depuis une dizaine d’années, s’était bien rendu à l’Élysée, mais deux ans après le passage de Stéphane Bern sur le plateau de l’émission d’Apolline, soit plusieurs mois après la sélection du château. Finalement, rien de suspect ne semble confirmer que la famille Malherbe aurait bénéficié d’un passe-droit, d’autant plus que les aides financières étaient très modestes. Juan Branco a finalement supprimé son tweet en admettant ne pas posséder assez de preuves de ce qu’il avançait, mais la journaliste a quand même subi les critiques des internautes.
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