Le journaliste sportif Matthieu Lartot, qui avait annoncé sa récidive de cancer du genou en avril, a révélé avoir subi une amputation de la jambe le 16 juin dernier. Malgré cette épreuve, il a suivi un programme sportif intensif et pourra commenter le mondial de rugby sur France Télévisions. Lartot a déclaré qu’il était préparé à cette éventualité, car sa jambe le faisait souffrir depuis longtemps. Depuis l’amputation, il a retrouvé une mobilité supérieure à celle qu’il avait auparavant.
Matthieu Lartot : la récidive de son cancer du genou
Au mois d’avril, Matthieu Lartot surprenait ses fans sur les réseaux sociaux. Le journaliste sportif révélait la récidive de son cancer du genou. Une terrible nouvelle puisque l’homme de 43 ans expliquait qu’il allait devoir se faire amputer. Une opération qui s’est déroulée le 16 juin dernier. Depuis, il a tout fait pour se remettre au plus vite et a suivi un véritable programme sportif. Des efforts qui ont payé puisqu’il va pouvoir commenter le mondial de rugby sur France Télévisions.
Matthieu Lartot s’était préparé à la possibilité de perdre sa jambe
Concernant son amputation, Matthieu Lartot a expliqué que ça n’avait pas vraiment été une surprise pour lui. Il a expliqué que celle-ci l’avait d’ailleurs toujours fait souffrir : “Pendant 26 ans, j’ai vécu avec une jambe atrophiée, une jambe malade, qui était plus courte que l’autre de quatre centimètres, et qui m’handicapait. Donc je m’étais préparé mentalement à l’éventualité qu’un jour, on puisse m’amputer”.
Finalement, le commentateur des matchs du XV de France a tout de suite accepté la décision médicale et a même pris les devants. “Je l’ai même un peu anticipé parce que je voyais la chirurgienne qui hésitait à me le dire. Et je lui ai dit : ‘Il va falloir qu’on m’ampute, alors allons-y !’. Quelque part j’étais préparé à ça” a-t-il confié sur le plateau de C à vous. Depuis qu’il porte sa nouvelle prothèse, Matthieu Lartot a pu retrouver une vie presque normale. Il a d’ailleurs retrouvé une mobilité bien supérieure à celle qu’il avait avant. Un véritable soulagement.