Obsèques de Françoise Hardy : Quand les incidents s’invitent à la cérémonie ‣ StarVIP
Obsèques de Françoise Hardy : Quand les incidents s’invitent à la cérémonie

Obsèques de Françoise Hardy : Quand les incidents s’invitent à la cérémonie

Emily
2 min de lecture

**EN BREF**

Le jeudi 20 juin 2024, les obsèques de Françoise Hardy ont été célébrées. Durant la cérémonie, plusieurs petits couacs ont eu lieu, mais pas de quoi supprimer l’émotion très forte ressentie.

**Les obsèques de Françoise Hardy perturbées par des couacs**

Deux titres phares de Françoise Hardy ont retenti : *Et si je m’en vais avant toi,* et *Le Temps de l’amour.* Mais quelques petits couacs sont venus perturber la cérémonie. En effet, des bugs techniques ont soit accéléré ou stoppé les chansons de la chanteuse. La prise de parole de Thomas Dutronc a également été coupée. * »Maman ne voulait pas d’une cérémonie religieuse, alors on a passé quelques chansons, »* a-t-il lancé. Présent, l’ancien compagnon de Françoise Hardy, Jean-Marie Périer est aussi revenu sur ces petits incidents, dans une publication sur Instagram. * »Françoise est partie dignement et j’avais le sentiment de la voir rire de la chaleureuse improvisation due à une erreur de sonorisation qui eut pour effet de détendre l’atmosphère parmi l’assistance de ses amis venus pour la pleurer et finissant par rire avec le public aimant, comme si mourir était une mauvaise blague dont il valait mieux se moquer, »* a-t-il écrit.

**Françoise Hardy avait tout prévu pour la fin de sa vie**

Pour *Gala*, Françoise Hardy en avait dit plus au sujet de la gestion de son héritage et de ses dernières volontés. * »Avec l’aide de mon notaire, j’ai rédigé mon testament il y a quelques années. J’espère laisser à Thomas de quoi payer les frais de succession exorbitants qui lui seront réclamés, ainsi que les charges qu’un studio et un appartement où habitent de très proches amis lui coûteront, »* précisait-elle. Très affaiblie par la maladie, Françoise Hardy se devait de tout préparer. * »Je suis obligée de vivre au présent. Penser que je vais devoir quitter tôt ou tard les êtres que j’aime le plus au monde, imaginer leur peine, cela me fait pleurer. J’évite autant que possible ».*

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