Dans un récent article, il est question d’une affaire de viol aggravé impliquant les rugbymen français Oscar Jegou et Hugo Auradou. Les faits se seraient déroulés à Mendoza, en Argentine, dans la nuit du 6 au 7 juillet, après une victoire de l’équipe contre l’Argentine. La victime aurait porté plainte le lendemain. L’avocat des joueurs conteste les accusations, évoquant des éléments en faveur d’une relation consentie.
Les deux sportifs ont été mis en examen et placés en détention. L’avocat des accusés a plaidé pour un assignation à résidence, mais cette demande a été rejetée. Les faits reprochés se seraient déroulés après une soirée de fête entre les joueurs et une femme de 39 ans.
Les déclarations de la plaignante ont été remises en question par l’avocat des joueurs, Maître Antoine Vey. Il évoque des zones d’ombres dans le témoignage et des éléments en faveur d’une relation consentie. Il souligne également le manque de preuves mettant en cause la personnalité des joueurs.
L’avocat souhaite obtenir un régime de contrôle judiciaire pour ses clients et affirme que ces derniers nient toute implication dans les faits qui leurs sont reprochés. Il met en lumière des éléments qui laissent planer le doute sur la version de la plaignante et appelle à la prudence dans l’interprétation des faits rapportés par la presse.