Scandale dans « Danse avec les stars » : une candidate soumet ses enfants à des tests urinaires fréquents ‣ StarVIP
Scandale dans « Danse avec les stars » : une candidate soumet ses enfants à des tests urinaires fréquents

Scandale dans « Danse avec les stars » : une candidate soumet ses enfants à des tests urinaires fréquents

Emily
3 min de lecture

Caroline Margeridon, une maman protectrice

La star d’Affaire conclue est une maman heureuse. En effet, mère d’Alexandre et Victoire, Caroline Margeridon est satisfaite de l’éducation donnée à sa progéniture. Même si celle-ci peut parfois susciter le débat comme elle l’a reconnu face à Guillaume Pley lors de son passage dans Legend.

Des tests urinaires pour protéger ses enfants

Dans son autobiographie, Libre !, la candidate de l’actuelle saison de Danse avec les stars a déjà évoqué les étonnants rituels qu’elle a imposés à son garçon et sa fille quand ils étaient plus jeunes. Des rituels imposés pour mieux les protéger. En effet, consciente des problèmes et du fléau de la drogue chez les jeunes, Caroline Margeridon a préféré plutôt prévenir que guérir, pour s’assurer que ses enfants ne consommaient rien lorsqu’ils étaient plus jeunes.

Contrôle strict et conséquences

Par leur jeune âge, les enfants de Caroline Margeridon ont interprété la demande de leur mère comme un jeu. « Je leur faisais croire que c’était pour la cigarette, ils avaient 11 ans, c’était facile. Ils faisaient tous pipi dans des petits verres, après dans des saladiers, car ils avaient grandi », s’est-elle souvenue dans son ouvrage.

Des amis blacklistés en cas de résultat positif

Et en fonction du résultat, la candidate de Danse avec les stars n’hésitait pas à se montrer autoritaire. « Sur le pipi test, il y avait cinq barres, une pour le shit, la cocaïne, les amphétamines… Si le test était positif, les copains étaient blacklistés de chez moi pendant un mois », a-t-elle révélé. Si certains peuvent interpréter cette méthode comme rustre, il faut pourtant savoir que cela a permis des amis de ses enfants d’arrêter leur consommation.

Une méthode qui a porté ses fruits

« Je me souviens de celui, il se reconnaîtra, que j’ai retrouvé sur le palier, avec sa compote Andros. Il parlait à mes bébés à travers la porte, il lui restait quatre jours à purger, le pauvre ! Ce gamin a tellement eu peur que je le dise à son père qu’il a arrêté, c’est une grande fierté pour moi », s’est-elle notamment réjouie.

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