Stéphane Plaza déféré au tribunal pour violences conjugales : la chute d’une star de l’immobilier ‣ StarVIP
Stéphane Plaza déféré au tribunal pour violences conjugales : la chute d’une star de l’immobilier

Stéphane Plaza déféré au tribunal pour violences conjugales : la chute d’une star de l’immobilier

Emily
2 min de lecture

Accusé de violences conjugales, Stéphane Plaza déféré au tribunal

Après sa garde à vue, Stéphane Plaza, accusé de violences conjugales, a été déféré au tribunal judiciaire de Paris, ce 14 mars 2024. Il est entendu depuis le 12 mars 2024 pour des accusations de violences conjugales à l’encontre de deux de ses trois ex compagnes, qui l’accusent. Stéphane Plaza, qui se réjouissait, ce mardi de donner enfin, et pour la première fois, sa version des faits dans cette affaire, n’en est pas sorti…

Une confrontation difficile

Après une garde à vue, il vient d’être déféré ce jeudi 14 mars 2024, au tribunal judiciaire de Paris. D’après BFMTV, la garde à vue a éprouvé l’agent immobilier le plus célèbre du paf. Ce 13 mars 2024, il a vu un psychologue, et a également été confronté à ses ex. La première l’accuse de lui avoir cassé un doigt et luxé les deux autres. Il l’aurait aussi collée contre un mur en plaçant un bras sous sa gorge. La seconde rapporte qu’il l’a mordue à deux reprises, sans raison, et qu’il l’a menacée. Nos confrères ont expliqué que Stéphane Plaza était « comme abattu », lors de la rencontre, et que « ses réponses étaient monosyllabiques ».

Stéphane Plaza nie les accusations

De son côté, Stéphane Plaza conteste les faits qui lui sont reprochés. Il nie avoir été violent et assure être la cible d’une opération de vengeance.

Déféré devant un tribunal, ça veut dire quoi ?

À l’issue de sa garde à vue, l’animateur avait trois options. Il pouvait d’abord être libéré. Il pouvait aussi faire l’objet d’une information judiciaire, c’est à dire une enquête plus approfondie. Au final, son déferrement devant un magistrat signifie qu’il pourrait être « jugé et, éventuellement, placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec les plaignantes ou convoqué pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité dans le cas où il reconnaîtrait les faits reprochés », explique BFMTV.

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