Le combat de Kate Middleton contre le cancer
Depuis l’annonce du cancer du roi Charles III en janvier dernier, les regards étaient tournés vers Kate Middleton, dont le silence alimentait les spéculations les plus folles. C’est finalement dans une vidéo poignante publiée le 22 mars que la princesse a brisé le silence, révélant son combat contre un cancer. Mais si Kate Middleton a choisi de ne pas s’exprimer pendant plusieurs semaines, c’est en partie à cause des rumeurs circulant sur les réseaux sociaux.
La critique de Stéphane Bern sur la transparence
Interrogé sur Europe 1, Stéphane Bern s’est dit attristé de la situation et a notamment critiqué ce qu’il considère être « une dictature de la transparence » qui règne actuellement. « On réclamait toujours plus de transparence, et ben, nous y voilà » a-t-il déclaré, soulignant le prix que la princesse de Galles a dû payer pour apaiser les rumeurs.
Le scandale de la photo retouchée
Au micro d’Europe 1, le spécialiste de la monarchie est notamment revenu sur les rumeurs concernant Kate Middleton qui n’ont cessé de pulluler sur les réseaux sociaux. « Là où ça a dérapé, c’est à partir du moment où elle a publié une photo pour la fête des Mères, jugée retouchée » a-t-il expliqué en faisant référence au scandale entourant la photo de la princesse de Galles avec ses enfants.
Le soutien de Stéphane Bern à Kate Middleton
Grâce à sa franchise et son approche très humaine, le message de Kate Middleton a néanmoins profondément touché Stéphane Bern. « Un Britannique sur deux est confronté à la maladie aujourd’hui, c’est-à-dire au cancer, et je crois que c’est aussi utile que la famille royale rende les choses plus familières aux gens », a-t-il confié.
Les réactions face à l’annonce sur les réseaux sociaux
La publication de la vidéo de Kate Middleton n’a pas manqué de faire réagir. Si certains ont salué sa franchise et son courage, d’autres ont critiqué l’utilisation des réseaux sociaux pour une annonce aussi personnelle. Stéphane Bern a, de son côté, tenu à défendre la princesse. « Elle a été obligée de le faire », a-t-il affirmé. « Elle était harcelée par les paparazzis, les tabloïds, les réseaux sociaux. Elle n’avait pas le choix. »
