Révélations choquantes sur le train de vie de Charlene de Monaco ‣ StarVIP

Révélations choquantes sur le train de vie de Charlene de Monaco

Emily
3 min de lecture

Scandale à Monaco : Charlene de Monaco aurait dépensé des millions d’euros

Depuis plusieurs jours, le Rocher tremble. Dans une longue enquête, Le Monde a dévoilé les notes secrètes de Claude Palmero. Ancien administrateur des biens du prince Albert II, il a été remercié en 2023 après vingt ans passés auprès de la famille royale. Dans celles-ci, il décrirait le train de vie fastueux mené par Charlene de Monaco. Selon lui, l’épouse du prince aurait dépensé « environ 15 millions d’euros » en huit ans.
Elle aurait également versé une somme folle à son frère, Sean Wittstock. Le 14 décembre 2022, Claude Palmero aurait rendu compte d’un virement de 300.000 euros. Une somme triplée quelques semaines plus tard avec l’accord d’Albert II de Monaco. « SAS d’accord », aurait-il écrit. Cette somme aurait servi à la « maison » du frère de Charlene de Monaco.

Des dépenses extravagantes et un personnel pléthorique

Toujours dans le cadre de cette enquête, Le Monde a rapporté que Claude Palmero se serait opposé au fait que Charlene souhaite agrandisse le personnel à son service. « 8,5 personnes à son service, il n’y en a jamais eu autant », aurait-il écrit. L’épouse d’Albert II aurait également dépensé près d’un million d’euros en deux mois pour la location d’une villa de Calvi. « Pour tous les membres de la famille princière à partir du moment où Claude Palmero informait d’un tel dépassement, la consigne lui était donnée de les faire intégralement prendre en charge par le patrimoine privé de la famille », a répondu le Palais au Monde. Evincé de son poste en 2023, Claude Palmero a attaqué la famille princière. Il a décidé d’amener cette affaire devant Cour européenne des droits de l’Homme estimant que la justice monégasque n’est pas indépendante.

Albert II : il répond à Claude Palmero

Après la parution de cette enquête du Monde, le prince Albert II a envoyé un droit de réponse. Dans celui-ci, il estime que les propos de Claude Palmero ne reflètent pas ce qu’il se déroule sur le Rocher. « Les prérogatives de Claude Palmero ne l’autorisaient pas à parler en mon nom, ce qu’il a fait de plus en plus régulièrement, refusant même, par moments, de relayer mes décisions », peut-on lire. « Ses devoirs lui imposaient une discrétion absolue, que ses déclarations publiques ont violée. Ils lui imposaient également une loyauté que les derniers propos inacceptables qu’il m’a tenus ont foulée aux pieds, a-t-il ajouté. En me séparant de M. Palmero, j’ai exercé le pouvoir de choisir l’administrateur des biens de mon choix. Les événements ont confirmé combien cette décision était la bonne. »

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