Le choix difficile pour les parents de George
Face à cette effroyable révélation, les parents de George, impuissants, sont sous le choc. Le prince George suivra-t-il les traces de son papa en intégrant Eton, l’école de l’élite anglaise ? En juin dernier, le fils aîné du William et Kate a visité avec ses parents la prestigieuse pension où il devait faire sa rentrée en 2026, l’année de ses 13 ans. Or le scandale qui éclabousse actuellement l’illustre institution pourrait tout remettre en question.
Eton or not Eton ?
Comme l’a révélé le Daily Mail ce 8 novembre, un ancien professeur de l’institut, ayant officié en son sein entre 2010 et 2012, est accusé d’avoir commis à de multiples reprises des violences sexuelles envers de jeunes collégiens. À la suite de ces terribles allégations, l’école, par la voix de son porte-parole, a assuré non seulement qu’elle se tenait « fermement aux côtés des anciens élèves directement impliqués » mais aussi que le bien-être de ceux-ci était « une priorité absolue » de l’établissement.
Des prédateurs sexuels à Eton
Prêts à débourser une somme exorbitante – les frais de scolarité sont de 40 000 euros par an – pour permettre à leur fils de suivre l’enseignement de cette institution, Kate et William ne s’imaginaient sûrement pas que, pour le même prix, de dangereux pédophiles rôdaient dans ses dortoirs !
Pour les parents de George, qui ont appris l’année dernière avec effroi qu’un enseignant de l’ancienne école de leur fils aîné, la Thomas’s Battersea School à Londres, était poursuivi pour pédophilie, le choix va donc s’avérer difficile. Alors, Eton or not Eton ? Telle est la question ! Choisiront-ils de préserver leur enfant d’ignobles prédateurs sexuels en rompant avec la tradition ? Ou bien prendront-ils le risque de laisser George intégrer Eton ?
À la recherche d’une alternative
Le fait que Kate ait récemment été vue au Marlborough College, dans le Wiltshire, semble indiquer que ces parents attentifs recherchent déjà une alternative à ce pensionnat où George risquerait d’être confronté au pire…
Valérie EDMOND