Anny Duperey rétropédale après ses propos sur Judith Godrèche ‣ StarVIP
Anny Duperey rétropédale après ses propos sur Judith Godrèche

Anny Duperey rétropédale après ses propos sur Judith Godrèche

Emily
3 min de lecture

Anny Duperey a créé la polémique en déclarant que les accusations de Judith Godrèche étaient « exagérées » et disait avoir « beaucoup de mal à réagir à ça ». Elle expliquait aussi qu’elle avait « de la chance », car elle n’avait peut-être « pas le profil de la victime ». Et d’ajouter : « Je n’aime pas trop ces chasses aux sorcières tardives comme ça ». Alors que ses propos ont été dénoncés et critiqués plus d’une fois en quelques heures, le lendemain, elle a de nouveau pris la parole, dans un communiqué, pour se justifier. « Ce que j’ai voulu, très maladroitement, j’en conviens, car il est bénéfique que les victimes s’expriment enfin après un si long silence, c’est tempérer l’emballement médiatique », a-t-elle assuré dans un premier temps.

« Je tiens à affirmer qu’évidemment je condamne toute action de viol ou d’abus de pouvoir séducteur – qu’il ait lieu à l’encontre d’adultes et surtout d’enfants ou d’adolescents », écrit-elle. « Ce n’est pas pour rien que je suis marraine depuis plus de 30 ans d’une association en faveur de la défense des enfants ! » La comédienne est la marraine de l’association SOS Village d’enfants depuis 1993. « J’ai toujours défendu ardemment la cause des femmes, à titre personnel et en participant à nombre de manifestations en faveur de cette cause – pour laquelle il y a encore tant à faire », a encore affirmé Anny Duperey, sans doute en réponse à Alexandra Lamy.

Anny Duperey a été vivement attaquée par Alexandra Lamy : « Vous voulez dire à toutes ces femmes que vous n’aimez pas la chasse aux sorcières tardive mais ce ne sont pas des sorcières, ce sont des violeurs, des criminels. Il faut dire à toutes ces victimes que vous n’aimez pas la chasse aux violeurs et aux criminels tardifs ! », lui avait lancé celle qui s’est fait connaître dans Un gars, Une fille. Enfin, Anny Dyperey a tenu à rappeler qu’elle avait été l’une des premières signataires pour la libération de Jacqueline Sauvage, cette femme qui a été condamnée puis graciée par François Hollande après avoir tué son mari violent.

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