Des révélations choc sur le tournage de « Police »
Dans une interview accordée au magazine Vogue ce mercredi 20 mars 2024, Sophie Marceau s’est longuement confiée sur le tournage du film « Police ». Un long-métrage signé Maurice Pialat dans lequel elle donnait la réplique à Gérard Depardieu.
Un mauvais souvenir pour Sophie Marceau
L’affaire Gérard Depardieu continue de faire couler de l’encre. Pour rappel, l’acteur de 75 ans fait face à des accusations de viols et d’agressions sexuelles émanant de plusieurs femmes. Si elle ne fait pas partie des plaignantes, Sophie Marceau a également dénoncé les comportements inappropriés du comédien. Elle semble d’ailleurs garder un très mauvais souvenir du tournage du film Police dans lequel elle lui donnait la réplique.
Des révélations sur l’attitude de Gérard Depardieu
\ »Il n’a jamais osé me toucher devant l’équipe, sinon il aurait reçu mon poing dans la gueule. Mais avec les pauvres habilleuses…\ », confiait-elle dans les colonnes du Monde. Récemment interviewée par nos confrères du magazine Vogue, l’actrice est revenue sur l’attitude inacceptable de son homologue qu’elle a été la première à pointer du doigt.
Un comportement odieux de la part de Gérard Depardieu
Si Gérard Depardieu s’est montré odieux sur le tournage, Maurice Pialat a fait preuve de beaucoup de respect. \ »Il m’a respectée, il n’a rien fait de répréhensible. Mettre le chaos, c’était sa façon à lui de tourner. Il n’aimait pas ce qui roulait, dès que le tournage prenait une allure professionnelle, ça l’agaçait. Mais il ne m’a jamais fait une mauvaise réflexion sur mon jeu…\ », a-t-elle assuré.
Un témoignage bouleversant de Sophie Marceau
Ce n’était pourtant pas la première fois que Sophie Marceau jouait aux côtés du monstre sacré. Un an plus tôt, elle avait déjà travaillé avec lui sur le film Fort Saganne. \ »Il s’est transformé en Mister Hyde sur Police. C’était à qui mettrait le plus grand chaos. Il était très mal élevé, mal poli. Il ne m’a pas violée ni frappée, mais il a eu des gestes très déplacés. Ce n’était que de la provoc, de l’humiliation, de la prise de pouvoir. Et tout ça sous prétexte de rire… Après, je n’ai plus eu envie de tourner avec lui. Jamais. Je trouvais qu’il dépassait les bornes mais que les autres qui le laissaient faire, les dépassaient également. Tout le monde entrait dans son jeu\ ». Un récit bouleversant.