Le prince Harry est sous le feu des projecteurs pour avoir révélé dans son livre « Le Suppléant » avoir consommé de la drogue, dont de la cocaïne et des champignons hallucinogènes. Le lobby conservateur américain, la Heritage Foundation, s’interroge sur la façon dont Harry a pu obtenir son visa pour les États-Unis, où il doit passer par le service des douanes et de la protection des frontières à chaque entrée. La loi américaine prévoit le refus d’entrée pour toute personne ayant consommé de la drogue ou condamnée pour des délits liés aux stupéfiants. Harry risque donc de ne plus pouvoir remettre les pieds en Californie après son voyage à Londres le mois prochain, malgré sa position de membre de la famille royale britannique.
Le prince Harry et sa consommation de drogue
Le prince Harry a récemment publié un livre intitulé Le Suppléant qui a révélé certaines de ses expériences passées, y compris sa consommation de drogues hallucinogènes avant l’âge de 18 ans. Il a également admis avoir essayé de la cocaïne, de la marijuana et de l’alcool. Il a même été offert des champignons hallucinogènes par l’actrice Courtney Cox, qui lui a donné un « trip merveilleux ».
Le visa de Harry remis en question
Ces révélations ont attiré l’attention de la Heritage Foundation, un puissant lobby conservateur américain, qui s’interroge sur la manière dont Harry a pu obtenir son visa pour les États-Unis compte tenu de sa consommation de drogue. Les étrangers souhaitant obtenir un visa doivent répondre à une série de questions sur leur consommation de drogue, et l’avocat d’Heritage Foundation a déclaré qu’il y avait une question sérieuse quant à savoir si Harry aurait dû être admis ou non. Bien que la demande de la Heritage Foundation ait été rejetée par la justice, Harry pourrait ne plus avoir le droit de remettre les pieds en Californie après son voyage à Londres le mois prochain, en raison des lois américaines sur la consommation de drogues.
Harry pas un citoyen comme les autres
Harry doit passer par le service des douanes et de la protection des frontières chaque fois qu’il entre aux États-Unis, et s’il tombe sur le « mauvais agent », cela pourrait se retourner contre lui, surtout s’il n’a pas officiellement déclaré sa consommation de drogue lors de sa demande de visa. Cependant, selon un avocat spécialisé en droit de l’immigration cité dans un article du Daily Mail, Harry n’est pas un « citoyen comme les autres » et aurait pu obtenir une dérogation. Cela confirmerait les allégations des plaignants selon lesquelles Harry bénéficie d’un « traitement spécial » en tant que membre de la famille royale britannique. Cependant, la demande de dérogation est une procédure longue et difficile qui nécessite un examen médical approfondi et une confirmation de la fin de la consommation de drogue, ce qui est peu probable dans le cas de Harry. Le Suppléant risque de lui coûter cher, notamment son droit de vivre en famille.
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