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Le témoignage poignant de Charles Spencer sur les sévices subis dans un pensionnat privé

Le témoignage poignant de Charles Spencer sur les sévices subis dans un pensionnat privé

Emily
3 min de lecture

Un témoignage bouleversant

En mars paraîtra un livre choc. Il est nommé A Very Private School. Il s’agit du témoignage poignant de Charles Spencer, le frère cadet de Lady Di. Il s’y livre à coeur ouvert sur toutes sortes de sujets, notamment sur le traumatisme d’avoir été envoyé étudier loin de la maison, qui plus est dans un pensionnat où il a subi des sévices.

Un pensionnat cauchemardesque

Le Maidwell Hall. C’est le nom de l’endroit maudit, une école privée située dans le Northamptonshire, au nord de Londres, où Charles Spencer a été envoyé lorsqu’il était petit. Un lieu digne des pires cauchemars. Si le livre n’est pas encore publié, des pages ont déjà été partagées dans la presse. Comme le relaie Paris Match, le site People a notamment partagé un passage particulièrement choquant.

De multiples sévices subis

C’est à l’âge de seulement 8 ans que le 9 comte Spencer, aujourd’hui âgé de 59 ans, a été envoyé dans cet endroit très strict où il a subi les pires violences. Comme il l’a indiqué, il a notamment pris des coups par le directeur de l’Institut, Jack Porch, un homme « prêt à infliger une douleur physique, le feu tranquille dans ses yeux trahissant sa gratification intérieure ».

Mais il ne s’agit pas de la seule violence que l’homme ait subi. À l’âge de 11 ans, il s’est aussi fait abuser par assistante de l’école âgée de 20 ans. Il a raconté la méthode rodée de l’agresseuse dans son livre : « Nous avons appris, lors de nos conversations secrètes entre camarades, qu’elle choisissait chaque trimestre l’un d’entre nous pour partager son lit et qu’elle l’utilisait pour les rapports sexuels… Elle m’a ajouté au deuxième rang de ses victimes : ceux dont elle touchait l’intimité… » décrit-il.

Les séquelles persistantes

Un traumatisme profondément encré, dont il garde encore les stigmates aujourd’hui. « L’effet de ce qu’elle m’a fait a été profond et immédiat, éveillant en moi des désirs fondamentaux qui n’avaient pas leur place chez un être aussi jeune », constate-t-il, 50 ans après. Comme l’indique le site Hello, l’école aurait appris ce fait à la lecture du témoignage de Charles Spencer. Elle aurait présenté ses excuses et parlé de « pratiques qui, malheureusement, étaient parfois considérées comme normales et acceptables à l’époque. »

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