Scandale : Mohammed Al-Fayed accusé de viols et agressions sexuelles !
Les révélations choc de la BBC
Une révélation fracassante a provoqué un énorme séisme en Grande-Bretagne. Ce jeudi 19 septembre 2024, la BBC a diffusé une enquête à charge contre Mohammed Al-Fayed. Une vingtaine de femmes accusent le défunt homme d’affaires égyptien, père du dernier amant de Lady Diana, d’agressions sexuelles, dont des viols, commis entre la fin des années 80 et le début des années 2000.
Les témoignages accablants
L’une des victimes, âgée de 19 ans au moment des faits, détaille le mode opératoire de celui qui fut autrefois son patron chez Harrods. Le businessman obligeait ses employées à travailler tardivement puis leur proposait de passer la nuit dans l’un de ses appartements. « J’ai fait clairement comprendre que je ne voulais pas que ça se produise. Je n’ai pas donné mon consentement […] il m’a violée », témoigne cette même femme surnommée Rachel.
Elizabeth II au courant des agissements de Mohammed Al-Fayed ?
Si l’onde de choc a frappé le Royaume-Uni de plein fouet, Dai Davies, ancien garde du corps de la famille royale britannique n’a pas été pris par surprise. Ces graves accusations auraient été déjà signalées à la police dans les années 90. Interrogé par le Daily Maily, celui-ci affirme que les forces de l’ordre britanniques n’étaient pas les seuls à avoir eu vent des agissements de Mohamed Al-Fayed.
Les soupçons sur la reine Elizabeth II
Lord Fellowes, secrétaire privé de la reine Elizabeth II, aurait été mis au fait de sa réputation de « vieux pervers », affirme l’ex-garde du corps. « On le soupçonnait d’avoir agressé sexuellement des femmes, puis de les avoir payées. » Dai Davies n’aurait ainsi pas hésité à convaincre la monarque de ne pas laisser Harry ou William partir en vacances en compagnie du milliardaire.
Les accusations de Mohamed Al-Fayed contre la famille royale
A sa mort en 2023, Mohamed Al-Fayed n’avait plus remis les pieds à Buckingham Palace depuis la mort de son fils Dodi. L’ex-propriétaire de Harrods était en effet persuadé qu’Elizabeth II et son mari, le prince Philip, avaient orchestré les faits survenus sous le pont de l’Alma, le soir du 31 août 1997. Une enquête officielle a balayé plus tard ces graves accusations formulées sans aucune preuve.