Emmanuel-Philibert de Savoie et Clotilde Courau : 20 ans de mariage et des rumeurs persistantes
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Voilà une phrase de contes qui relève bien souvent du mythe. Car dans la vie réelle, les princes et les princesses – au même titre que le commun des mortels – échappent rarement aux mariages sans orages. Seulement voilà, en faisant allégeance à la couronne, ces derniers doivent bien souvent faire de même avec la vie médiatique… et les rumeurs qui vont avec.
Une union controversée
Emmanuel-Philibert de Savoie et Clotilde Courau se sont dit “Oui” en septembre 2003 avant d’accueillir leur première fille trois mois plus tard. A l’époque, beaucoup avaient vu cette union d’un mauvais œil, en raison de leurs différents rangs sociaux d’une part, mais aussi à cause de cette grossesse qui arrivait dans la foulée. Et alors que plusieurs détracteurs avaient choisi, d’emblée, de ne pas croire à leur couple, Emmanuel-Philibert de Savoie et Clotilde Courau ont aujourd’hui de quoi faire taire les plus sceptiques, puisqu’ils ont célébré cette année leurs 20 ans de mariage. “Peu de monde aurait parié sur nous”, avoue le prince de Piémont dans les colonnes de Point de vue. Puis d’ajouter : “Les gens se demandent sans cesse ‘Sont-ils séparés ?’”
Emmanuel-Philibert de Savoie : “Nous nous parlons tous les jours”
Au contraire, les deux époux semblent s’épanouir dans le mode de vie peu banal qu’ils ont choisi. En effet, Clotilde Courau et Emmanuel-Philibert de Savoie, bien que mariés et amoureux, ne vivent pas ensemble, à cause de leurs différentes activités. “Clotilde travaille énormément, au cinéma et au théâtre, j’ai de mon côté mes occupations, avec mes clubs de football, mes restaurants et les activités dynastiques”, explique le prince.
Un mariage pour le moins moderne, qui n’empêche pas les deux époux de conserver des liens forts. “Nous essayons d’être ensemble le plus souvent possible. Nous nous parlons tous les jours. L’important est que nous soyons bien entre nous, et surtout que nous soyons cohérents dans l’éducation de nos filles”, conclut Emmanuel-Philibert de Savoie.
