Samantha Markle veut intenter un procès contre Meghan Markle pour diffamation
Meghan Markle risque d’être traduite en justice suite aux efforts de sa demi-sœur pour un procès en diffamation à son encontre. Samantha Markle, 58 ans, affirme que la femme du prince Harry l’a diffamé à plusieurs reprises. La première fois se serait déroulée lors de l’interview explosive à Oprah Winfrey, en 2021. La demi-sœur de Meghan Markle a également affirmé qu’elle avait été diffamée à nouveau dans les docu-séries Netflix des Sussex. Dans ses efforts d’intenter un procès, Samantha a été entendue lors d’une audience par la Cour fédérale de Tampa, en Floride, le 8 novembre dernier.
Samantha Markle demande des dommages et intérêts supérieurs à 70 000 euros
Selon Mirror, la femme de 58 ans serait optimiste quant à ses chances de succès. Notons que Samantha Markle demande des dommages et intérêts supérieurs à 70 000 euros. Elle affirme que les remarques de Meghan Markle ont fait baisser les ventes de son livre The Diary of Princess Pushy’s Sister. Si Samantha Markle obtient gain de cause, le procès se déroulerait en 2024 vers le mois de juillet. Si tel est le cas, alors Meghan Markle aura jusqu’au 2 janvier pour être entendue. Ce qui obligerait l’ancienne actrice de Suits à dévoiler des messages et des documents privés.
Meghan Markle : sa demi-sœur redouble d’efforts pour la toucher
Rappelons que Samantha avait déjà intenté une action contre Meghan Markle, vers mars 2022. Selon elle, la duchesse de Sussex aurait divulgué des informations sur « une biographie non autorisée » intitulée Finding Freedom. Concernant les docu-séries des Sussex, Samantha Markle a accusé sa demi-sœur d’avoir diffusé des « mensonges malveillants, blessants et préjudiciables ». Selon Samantha, les commentaires de Meghan viseraient à la diaboliser en la décrivant comme étant une « menteuse en quête de gloire ».
Le porte-parole des Sussex s’est déjà exprimé sur ce sujet
Un porte-parole des Sussex s’était déjà exprimé sur le sujet en décrivant cette affaire comme étant « sans fondement ». « Il s’agit toujours d’un procès à la recherche d’une réclamation viable. L’affaire a échoué parce qu’elle se heurte tête première à la loi sur la diffamation et au Premier Amendement », a déclaré ce porte-parole.
